En route vers le Soleil de Minuit (Jour 17)

En route vers le Soleil de Minuit. Un voyage en vélomobile avec Brigitte et Fritz.

Allemagne > Danemark > Norvège > Cap Nord (Nordkapp) > Finlande > Allemagne

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Jour 17 | Nordrevik -Dravik | 103 KM | 1441 HM

Aujourd'hui, il y avait une quantité incroyable de choses à voir. Notre itinéraire longeait la côte de Nordrevik à Vadheim dans les montagnes, en passant par Sande et le Gaularfjellet jusqu'à Balestrand pour revenir au Sognefjord. Il n'y avait rien d'autre à faire que de rouler à travers les montagnes. Mais cela en valait vraiment la peine.

Une nuit douce sur un camping où il n'y avait pas de douches. Nous avons donc dû nous baigner et nous laver dans la mer. Il n'y avait qu'une seule toilette et pas de cuisine. Au moins, il y avait de l'électricité. Mais le lendemain matin, tout était sec et nous avons pu faire nos bagages tôt. Tout était encore calme. Nous avons bientôt retrouvé un chemin supplémentaire pour les cyclistes.

Derrière Vadheim, dans les montagnes. Passé le vieux chemin avec un très vieux pont.

Derrière Sande, vers l'est et vers le haut.

Par paliers, il monte de plus en plus haut. Puis vient l'Eikelandsfossen.

D'autres cascades et des lacs presque vitreux suivent dans la suite de l'ascension.

Peu à peu, nous sommes saturés de cascades, de lacs, de ruisseaux et de montagnes.

A la fin, la belle conclusion. Au sommet, nous rencontrons un groupe de touristes de Gütersloh. C'est donc tout près de chez nous. Non, ce n'est pas ce que je voulais dire. Le final, c'est bien sûr la descente sur ces fabuleux serpentins.

Le Finlandais, ici au col, était décadent dans le bon sens du terme. Il s'est laissé conduire dans la Panamera. Il s'est arrêté à des endroits intéressants d'un point de vue photographique, a marché avec son cadre découpé, puis a transporté son véritable équipement lourd et a pris ses photos. Nous n'avons cessé de nous dépasser l'un l'autre. Les plaques photographiques mesuraient environ 30x40 ou plus. Un Hasselblad peut-être ??? Le trépied était impressionnant. Un énorme sac rectangulaire avec toutes sortes de choses, un grand sac à appareil photo pour les plaques. Et il restait là pendant des minutes pour exposer. Très cool, en fait. Compte tenu des circonstances extérieures, j'aurais aimé faire la même chose. J'aurais aimé voir les résultats. Son chauffeur s'est montré très méfiant lorsque je lui ai posé des questions. Il a prétendu qu'il ne parlait pas anglais, ce que je n'ai pas cru. Il ne voulait tout simplement rien me dire.

Lors d'une de nos pauses pour nous rafraîchir pour les freins, un gros camping-car s'est arrêté à côté de nous et a sorti un Thaï après l'autre. Deux pour être exact. Biggi a dit qu'il y en avait au moins un autre à l'intérieur. Puis est arrivé le vieux Norvégien. Biggi se tenait juste à côté du camping-car avec son Alpha. Les Thaïlandais ont alors voulu prendre des selfies avec leurs mains sur son Alpha. Le Norvégien a demandé combien d'argent il pouvait descendre avec notre vélomobile. J'ai dit beaucoup. Il m'a répondu : "Vous avez besoin d'argent ? Moi, non, nous avons toujours besoin de nos VM en un seul morceau. C'était vraiment décadent et Biggi avait envie de partir. Cela m'a rappelé un texte en 12e année, lorsque nous avions traduit un rapport en latin sur une fête romaine. Hm, pas de photo du Norvégien et de ses compagnons. Mais l'imagination est meilleure de toute façon.

Comme je l'ai dit, la route du front de mer n'allait pas jusqu'au bout pour nous. En outre, cela valait absolument la peine de passer par-dessus le Gaularfjellt. D'ailleurs, la descente de Gaular, 7-11% selon Wahoo, est aussi comparée à la montée de Troll.

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